Le Le silence de la mort à la troisième personne : entre la métaphysique de Maurice Blanchot et la ressource poétique de Vladimir Jankélévitch.

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DOI : https://doi.org/10.6018/analesff.617091
Mots-clés : silence, l'autre, paradoxe, méta-empirique, la mort

Résumé

Le roman de Maurice Blanchot Le dernier homme (1957) situe l’histoire dans un espace neutre à partir duquel le narrateur perçoit le silence de l’autre comme un motif récurrent avant sa mort.  Cet aspect sera également abordé à plusieurs reprises dans les ouvrages théoriques de l’auteur, ainsi que dans d’autres textes littéraires. L’article suivant propose une analyse de la pensée de la mort chez M. Blanchot à partir des concepts centraux du silence « ineffable » et du silence « indicible » présents dans la philosophie de Vladimir Jankélévitch. Pour ce faire, les ressources littéraires utilisées par les deux auteurs seront explorées en profondeur, notamment à travers le paradoxe, afin d’établir l’impossibilité du langage face à la connaissance de la mort “méta-empirique”.

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Publiée
29-11-2024
Comment citer
Peña, A. (2024). Le Le silence de la mort à la troisième personne : entre la métaphysique de Maurice Blanchot et la ressource poétique de Vladimir Jankélévitch. Anales de Filología Francesa, 32. https://doi.org/10.6018/analesff.617091