“TERRIBILES NOVERCAE”: LAS UNAS Y LAS OTRAS

Autores/as

  • Marcela A. Suárez

Resumen

La perception qu'un enfant a des belles-mères est fondée sur les contes. Or, ce stéréotype. présent dans la littérature enfantile, maît de l'imaginaire féminin classique. Bien que la noverca occupe la même position sociale que la mère biologique, sa réputation est explicitement négative et s'associe à la malveillance à l'égard du beau-fils. La littérature classique est envahie de belles-mères: soit les novercae veneficae, associées au poison, soit les belles-mères mythologiques, où l'on distingue les véritables belles-mères et celles qui jouent ce rôle. Le préjugé contre la noverca, considérée le paradigme du côté sombre de la femme en tant qu'épouse et mère idéale, peut être expliqué à partir du genre, c'est-à-dire, l'image que nous en offrent les textes antiques résulte l'ensemble de traits négatifs attribués aux femmes en général dû à une tradition misogyne qui fait son apparition aussi bien en Grèce qu'à Rome.

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Biografía del autor/a

Marcela A. Suárez

Facultad de Filosofía y Letras Universidad de Buenos Aires
Cómo citar
A. Suárez, M. (2004). “TERRIBILES NOVERCAE”: LAS UNAS Y LAS OTRAS. Myrtia, 19, 131–143. Recuperado a partir de https://revistas.um.es/myrtia/article/view/46161
Número
Sección
Artículos