LA PUJANZA DE LAS LETRAS FRENTE A LAS ARMAS EN LA NOBLEZA DE LA ESPAÑA DE LOS AUSTRIAS

Autores/as

  • Carmen María Cremades Griñón
DOI: https://doi.org/10.6018/j7801

Resumen

La noblesse est, à la fois, de naissance, militaire, féodale, et elle donne son esprit à toute la société. Tout cece rapelle étonnamment le Moyen-Age. Le dédain des professions autres que la militaire vient du temps où les invasions, l’affaiblissement du poivoir supreme, l’insécurité perpétuelle, avaient fait du soldat l’homme nécesssaire, et les périodes de paix n’avaient jamais été depuis assez longues, la force de l’Etat assez grande por faire oublier que les biens les plus précieux, dont tous les autres dépendent, sont l’indépendance et la sureté, ni tout ce que chacun doit à ceux qui garantissent. Le caractère honorable de 1 ‘exploitation du sol por 1 ‘entretien personnel rapelle le temps où la monnaie était rare et où l’homme d’armes recevait en fief, pour assurer son existence, un morceau de terre. L’idée de race, sans doute la constatation de la supériorité que 1 ‘exercice des armes dès le jeune age, l’exemple domestique, la tradition, peut- etre aussi des aptitudes morales et physiques acquises et transmises par hérédité, donnaient habituellement, dans l’ensemble, à la postérité des nobles

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Cómo citar
Cremades Griñón, C. M. (1996). LA PUJANZA DE LAS LETRAS FRENTE A LAS ARMAS EN LA NOBLEZA DE LA ESPAÑA DE LOS AUSTRIAS. Miscelánea Medieval Murciana, (19-20), 55–66. https://doi.org/10.6018/j7801
Número
Sección
Artículos